Portrait : l’empoisonneuse de la Riviera
Patricia Dagorn, connue comme « l’empoisonneuse de la
Riviera » est de retour devant les tribunaux. Son procès s’ouvre ce mercredi
pour des accusations d’empoisonnement successifs, sur au moins 7 hommes âgés en
vue de les escroquer. Elle a été condamnée à 22 ans de prison ferme. Portrait d'une femme à la cupidité mortelle.
Cette quinquagénaire a connu un parcours difficile. Placée en
famille d’accueil dès sa naissance, elle a enchainé les relations
néfastes et destructrices. C’est particulièrement son ex-mari, Luc Caron, qui l’aurait conduit vers
l’escroquerie. L’homme était connu des services de police notamment pour
violence envers ses compagnes et des arnaques en tout genre.
Elle est décrite comme une « personne fragile » et dans le besoin par son avocat. Souvent décrite comme une femme vénale, Patricia Dagorn était prête à tout, quitte à délaisser ses propres enfants. Aux caméras de Sept à Huit, Guilhem Caron l'avait décrite comme "obsédée par l'argent".
Toutefois, ce n’est pas la femme décrite par les hommes qu’elle a escroquée. Sous le soleil de la Côte d’Azur, elle choisissait des hommes âgés, souvent veufs, et en manque de relation sentimentale. Grand manipulatrice, c'est grâce à sa "gueule d'ange" qu'elle piégeait ces individus.
Elle est décrite comme une « personne fragile » et dans le besoin par son avocat. Souvent décrite comme une femme vénale, Patricia Dagorn était prête à tout, quitte à délaisser ses propres enfants. Aux caméras de Sept à Huit, Guilhem Caron l'avait décrite comme "obsédée par l'argent".
Toutefois, ce n’est pas la femme décrite par les hommes qu’elle a escroquée. Sous le soleil de la Côte d’Azur, elle choisissait des hommes âgés, souvent veufs, et en manque de relation sentimentale. Grand manipulatrice, c'est grâce à sa "gueule d'ange" qu'elle piégeait ces individus.
Amaury Baqué
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